Mariage Gil et Azzera [Terminé]

Miimi arriva avec Mael dans les bras. Elle avais mis ses plus beaux atours pour le mariage de son ami.



Elle posa son ptit ange au sol et fit la bise à tout le monde.

Contente de te revoir Gil en bonne santé et le ptit ange aussi!

* la maison familiale*

encore un mariage, et pas des moindres celui de son cousin. noupi avait sorti les beaux vetements de tous.

lapin enleves moi cette carotte de ta bouche, c'est un mariage. adhé regarde ta chemise, le col est mal mis. et puis tes bottes sont pas propre.

bon les amours je vous laisse je vais me preparer.

elle enfila la robe qu'elle avait confectionné, se coiffa, glissa un brin de lilas sous son corsage et se presenta aux hommes qui attendaient.

alors? je vous plait?

elle sourit et ils partirent tous les trois.

[devant l'eglise]

ils arriverent tous les trois devant l'eglise, noupi prit une profonde respiration, elle etait un peu stressé c'etait la premiere fois qu'elle allait dans un endroit au bras d'adhé, elle etait tres fiere de lui. elle regarda le lapin, glissa un main dans ses cheveux, lui sourit. regarda adhé et deposa un baiser sur ses levres.

on y va les amours?

ils entrairent dans l'eglise se signa, puis se dirigerent vers gil pour le saluer.

bonjour mon cher gil, je suis heureuse d etre ici en ce magnifique moment. je te souhaite plein de bonheur.

Sandrine et Schrek étaient enfin arrivés pour le mariage de leur ami Gil. Contrairement à ce que pensaient certains, elle n'aurait oublié pour rien au monde.

Ils avaient chevauchés toute la nuit pour arriver à temps. Sirius était un cheval comme on en faisait plus. Il avait pris goût à leur équipée un peu sauvage. Et le fait de revoir tous leurs amis lui avait comme qui dirait... donné des ailes.

En arrivant près de l'église, elle descendit de cheval et se mit à marcher en direction de l'édifice.

Elle se dirigea en premier vers Gil à qui elle fit une énorme bise et lui posa la main sur le bras.

Alors.. ca y est... c'est le grand jour pour vous...

Son regard se posa sur le petit bonhomme qu'il tenait dans ses bras.

Bonjour toi... lui caresse la joue du bout du doigt... on ne se connait pas encore... je suis Sandrine... une amie de ton papa...

Elle déposa sur la joue du petit garçon une bise pleine de tendresse. Elle lui murmura ensuite... et le grand messire qui est avec moi il s'appelle Schrek... il a l'air d'un ogre comme ça mais il est tout plein gentil et je lui interdit de manger les enfants. Elle regarda Gil en souriant.

Euh... ca le fait pas si je glisse jusqu'à l'autel hin?! Je vais être sage... promis!

Elle se retourna pour saluer Zigom, Vivi, Miimi et Mael et Colibri.

Bonjour à vous tous...

La route fut longue. Cortèges de moult voiture résistant aux mauvais sort que les routes de France leur infligeaient. Encore et encore des laissez passé a authentifier par des gardes qui ne devaient pas apprécier ce boulot. Samuel avait chaud. Visage dans le vent coulis de la fenêtre il patientait. Certes pendant ce voyage il eu le temps de bavarder. mais lorsque le temps ce fait long c'est son silence qui avait prit le dessus.

C'est enfin en passant en Gascogne que son attention le fit de nouveau reprendre vie ... sa future province de résidence avait pour cette raison simple un intérêt sans mesure. Alors regardant défiler le paysage et oubliant le fracas des bois et métaux entrechoqués, des grincement incessants et de ce tangage a vous retourner l’intérieur... Il reprit sourire ne manqua pas de le montrer a ses compagnons de voyage.

Malheureusement pas le temps de vraiment se délasser. Le convoi s’arrêta devant une auberge a quelques pas du parvis de l’église. Samuel sortit et demanda qu'on les débarrassent. il prit quelques minutes plus tar sa chambrée et se changea. Ceci ne fut pas long. Juste trois heure et seize minutes. Il etait pour lui enfin temps de rejoindre sa famille et de faire route vers le parvis.



[dans la voiture de Sam j'imagine Enored et les cousines Lendelins... mais ca reste au bon vouloir des joueurs]

Azelie franchisait la centaine de lieux qui la séparait de son Auvergne, délaissant l’état de défense dans lequel ils étaient tous plongés depuis l’attaque des brigands. Elle avait laissé sa fidèle monture préférant éreinter les bêtes de relais, car elle devait faire vite et revenir aussi vite, le voyage ne serait pas une sinécure, mais elle se devait d’assister au mariage de son amie, son visage se détendit malgré la fatigue, se remémorant le jour ou toutes deux elles c’étaient dévouées pour couper bois dans la forêt bordant la commanderie, ce qui n’avait pas été une mince affaire, les deux jeunes femmes n’avaient pas le physique de bûcheron aguerris.

Mimizan, Mimizan, mais c’est que c’était loin, et puis un endroit encore qu’elle n’avait pas eu l’heure de connaître, en franchisant les portes, elle découvrit une ville cossue de bonne bourgeoisie, l’endroit paraissait serein et calme en rapport avec ce qu’elle venait de vivre, les Clermontois étaient tous à cran, et plus perchés sur les remparts qu’a bavaser tranquillement ainsi dans les rues. Elle interpella un enfant et lui demanda l’adresse d’une bonne auberge guère loin de l’église, il se fit une joie de la renseigner et en échange elle lui fit voler une pièce qu’il se hâta de récupérer.

L’auberge grouillait de monde, et elle eu quelques peine à obtenir une chambre, des invités, sans doute, des futurs époux, un frisson la parcourue, non, non ce n’était pas le moment de faire sa sauvage, elle venait pour Azzera sachant ce que ce jour pouvait représenter dans la vie de toute femme.

Elle eu quelques peine à se mettre présentable, car la tenue qu’elle avait emporter pour l’occasion avait eu un problème à être ainsi transporter dans ses fontes, même si le tissus épais reprenait à peu près forme descente, elle fit une toilette rapide, elle aurait aimer pourtant avoir le temps de barboter un peu dans un baquet, mais le temps pressait, peut être avant de repartir, elle se donna ainsi l’espoir de voir ses courbatures s’atténuer.
Elle n’essaya pas une coiffure sophistiquer, laissant ses cheveux libres de tous mouvements et onduler à leur grés.
Et c’est ainsi d’un pas rapide, qu’elle sortit de sa chambre et de l’auberge franchissant les quelques pas la séparant du parvis.
Des tournesols magnifiques entouraient les colonnes de l’entrée de ton était donné, il serait lumineux.

Cooljazz et Laureen arrivèrent ensemble comme de coutume leurs devise n'était t'elle pas «  jamais sans toi »



Ils n étaient ni en retard , ni trop a l'avance déjà de nombreux visages connu étaient présents, ce qui les rassuras c'était là, la première cérémonie de mariage auquel il assistaient et ne savaient pas trop quel était le protocole a respecter

Si Laureen c'était écoutée toujours pleine d'impétuosité, elle aurait sauté au cou de tous et particulièrement au cou de Gil pour lui dire combien elle était contente pour lui, lui souhaiter tout le bonheur du monde a lui et a sa belle Azzera sans oublié le petiot.

Mais elle se retint, ses vœux de bonheur aux jeunes mariés , elle les souhaiterais immanquablement plus tard
Ils saluèrent donc chacun des convives présent et entrèrent dans la chapelle.

K.O., Chaos et Cahots

Après un mois d'immobilisation forcée, après qu'une furie soit rentrée dans le vif du sujet, le sujet étant mon humble personne, je me suis enfin extirpée du chaos provençal, et ai pris place dans le carrosse familial.

Darius nous accompagne. Il tient absolument à assister à un mariage à la mode de chez nous. Quant à moi, j'éprouve la plus grande curiosité à faire la connaissance de ce cousin, Gil, dont je n'ai pas le moindre souvenir.

Les routes défilent. Je retiens des soupirs d'exaspération à chaque demande de laisser-passer, me contentant de fusiller du regard les gardes qui n'y peuvent rien, mais quand même... Excès de zèle.

Avec Darius, nous jouons aux mots. Ce n'est pas un vrai jeu, c'est juste pour éviter de penser à la guerre.

- Carabosse caracole dans le carrosse! dit le gamin me montrant du doigt en riant.

Une tape sur sa main plus tard, je rétorque :

- Le zèle des zélateurs et zélatrices les pousse z'à dévorer les z'autres.

- Mais non, Istanga, c'est d'une incongruité sans aucun lien! Par contre, tu préfères le Char Ivari ou le Char à Bia, ou encore le Char Latent?

- Tu m'ennuies Darius! Tiens, regarde! Nous sommes en Gascogne, et je t'interdis les jeux de mots douteux pour la durée de notre séjour ici. Ils ont déjà les gasconnades...

Mimizan - Auberge du Chat Noir Borgne qui Tourne de l'Oeil

L'auberge dégueule de monde. Les tenanciers doivent se féliciter de l'aubaine. La chambre n'est pas terrible, mais mon fessier rompu par les routes mal empierrées apprécie le contact du matelas.

Un valet vient déposer ma malle, que j'ouvre aussitôt pour en sortir la tenue que je porterai pour la cérémonie. J'étrennerai pour ce jour la tenue que m'a faite la jeune Cianfarano : jupe longue légèrement évasée, corsage très cintré, aux manches en gaze vaporeuse, le tout couleur des nuits d'Orient, rebrodé de lunes argentées.

Darius se revêt d'un pourpoint de velours bleu nuit, aux boutons argentés, sur un sarouel de lin blanc. Il a noué un turban sur sa tête, à la mode des sultans, et piqué une aigrette sur le devant. Il est très séduisant ainsi. J'espère qu'il rencontrera quelque fille de son âge dans l'assemblée...

Cheveux longuement brossés, juste noués en une grosse torsade qui se défera au gré de la journée, je prends le bras de Darius ; nous descendons rejoindre les autres pour nous rendre jusqu'au parvis.

Murat

Les préparatifs avaient été bouclé à la hâte, le message qu’ils avaient reçu avec son épouse était arrivé il y avait seulement quelques jours. Décision avait été prise de partir lendemain pour ne point arriver en retard. Ils avaient toujours eu en projet de venir voir l’océan. Son épouse n’ayant jamais la chance de le voir. Il feraient donc d’une pierre deux coups.

Grimaldus, son intendant, son ami, avez tout préparé, et Carmella, la cuisinière avait remplie les malles de moultes douceurs pour que le couple Ducale ne manque de rien.

La petite dormait encore quand ils partirent à l’aube, un voyage agréable où Margaut découvrit moultes choses qu’elle n’avait point vu avant. Elle ressemblait tellement à sa mère, un joli minois, des boucles brunes qui avaient déjà une belle longueur. Un caractère fort et une envie de tout savoir. Vraiment, le portrait craché de sa mère.

Où z’est que nous zalons ? Avait elle demandé. Alors elle la prenant sur ses genoux, Pierre lui avait parlé d’Azzera, une femme fidèle à sa grande Taty Nanny, lui avait il expliqué. Une Blanche qui l’avait escorté sans failles pour son retour en Bourbonnais Auvergne. Pierre avait grandit à Mimizan, il avait hâte de retrouver cette odeur iodée de son enfance. Cette grande plage de sable fin, où il avait prévu d’errer main dans la main avec son épouse.

Mimizan

Arrivée la veille du mariage, une belle augerge où une grande chambre avait été réservée par son intendant, Pierre s’écroula de fatigue. Margaut était une enfant épuisante, mais tellement espiègle. Elle posait tout le temps des questions. Auxquelles il fallait réponse sinon elle tapait du pied. Un caractère de…….dami j’vous dis. Après plusieurs heures, ben voui les femme, ils étaient enfin prêt. Un carrosse attendait devant pour les mener à l’église où Azzera allait dire oui à son futur époux. Je jeune Duc se demanda si il allait reconnaître certain Mimizanais, il était maintenant parti il y a tellement longtemps, sur que beaucoup avaient fortement changés. Il verrait bien

Arrivée à l’église

Sur le parvis, une petite foule est présente, il ne reconnaît personne, il salue poliment les présents et poursuit vers la grande porte de l’édifice religieux.

Margaut dans ses bras, une main dans celle de son épouse, ils rentrèrent dans l’église, l’endroit était simple, Pierre reconnu immédiatement cette odeur particulière qui flottait à l’intérieur. Il se rappelait qu’il venait prier tout les dimanche icelieu. Les souvenirs remontaient doucement, comme la caresse d’une vague, une enfance heureuse malgré l’absence de ses parents.

Ila avancent jusqu’au deuxième banc, le premier étant destiné à la famille proche. Ils avaient croisé le futur marié sur le pas de l'église qui était là avec un petit garçon, sûrement Eamon, leur fils presque du même âge que Margaut.

La petite qui ne manque pas de le voir, tournant le visage vers son père et le doigts vers le garçonnet.

Zé qui za popa ?

Le jeune duc baisse le doigt de la petite

On ne montre pas du doigt, ce n’est point poli. Et je pense que c’est Imon, le fils du marié et de la mariée.

Satisfaite de la réponse, elle se tait et continue de regarder le petit en se tournant la tête pour que ses yeux portent jusqu'au dehors.