Re: Mariage Gascon (Jakethesaint/Sehanne)

par Adelaide Lun 17 Nov 2008 - 13:58

Le pompeux, le barbant très peu pour elle. Elle n'allait pas en prime supporter la messe !!!

Sur le parvis de l'eglise, elle attendait, patiement, que l'assemblée veuille bien bouger le fessier de leur banc, que les mariés soient sortis, félicités, re félicités et re re félicités... c'est beau, émouvant, ça se tape sur l'épaule et presque sur le gras du bide, non ptet pas c'est la bonne société y paraît.

Ça stagne, ça se congratule, ça se renifle, ça sent bon la lavande, ça bavasse, ça se montre, ca se reluque, ca se compare a demis mots et pendant ce temps la, y en a qui attendent, comme des glands, que ces bonnes gens veuillent bien se donner la peine de se pointer la ou ils sont attendus.

Attendre attendre ... pas qu'ca a fiche moi.. z'auront bin l'temps de discutailler en graillant.

Hop, elle part au devant des invités, sinon ils y seront encore pour feter la nativité.
Un par un, elle leur adresse la meme ritournelle.

M'sieur,dames...

On vous attend au château pour le banquet, les festivités le tralala et le reste ...
Si vous voulez bien vous mettre en route derrière la calèche des jeunes tourteaux, vous serez bin aimables.

Avant de partir, une derniere chose, elle courru dans l'eglise cherchant l'eveque ... Dona Zozo c'est vous ?
Bin z'avez le bonjorn de la grasce Vanyel de Prume.

Elle sortit a la hate sans meme dire au revoir, en route pour le chateau

par louisnapoleon Lun 17 Nov 2008 - 21:50

Après la cérémonie, très émouvante, Louis suivit le cortège qui sortait de la cathédrale pour se rendre au castel des roses bleues. Il féliciterait les mariés plus tard. Il était impatient de découvrir la demeure des jeunes mariés et de faire un peu la fête. Il reprit ses armes à son écuyer qui le suivit en tenant les chevaux. Un peu de marche ne ferait pas de mal au vicomte.

par Grinwold Mar 18 Nov 2008 - 21:09

Fini ? Déjà ? Laissez un soldat sur sa faim n'est pas une idée très judicieuse, il a la grogne facile l'officier !
D'ailleurs, quelques bougonnements s'échappent déjà de la gorge du mécontent, tandis qu'il reboutonne tant bien que mal sa chemise.
Frustration ultime, Isadora est déjà toute rapiécée, et le regarde d'un air moqueur. Nervosité, énervement, lui n'avance pas, un bouton lui résiste...

Défait par un bouton ! Ah il était fier l'officier gascon !

Finalement, elle vient à son secours, et parachève le travail de quelques gestes précis et appliqués. Il la regarde faire.
Sentiment aussi étrange que troublant, la situation semblait prendre une autre dimension. Incapable d'y mettre le moindre mot, Grinwold saisit les mains graciles une fois le dernier refermé. Les contemplant quelques secondes, il dépose un doux baiser sur les minces phalanges avant de leur rendre leur liberté.

Le départ fut vif, déjà ils remontaient vers la nef et apercevaient la porte branlante. En haut de l'escalier, l'homme porte une main à son cœur. L'organe bat la chamade. Un regard par dessus l'épaule.
Se pourrait-il que ce ne soit que ce maigre escalier qui en soit l'origine ?

Guère le temps d'y réfléchir, puisque les voilà déjà dans la nef, alors que les derniers convives quittent la cathédrale. Peu de solutions s'offrent au couple. La belle hésite, se retourne vers lui et l'interroge du regard.

Le soldat choisit la fuite. Porte béante, il inverse les rôles et entraîne la femme vers la sortie.

Namay m'a dit que la réception aurait lieu au Castel des Roses Bleues non loin d'ici, pas de raison que nous restions à l'écart.
Et nous aurons tout loisir d'y féliciter les jeunes mariés, si c'est cela qui te tracasse !

J'espère que tu as encore de l'appétit... conclut-il d'un sourire en coin.

par namaycush Mar 18 Nov 2008 - 21:29

Fin de la cérémonie, enfin la fin, pour les jeunes mariés c’était le début plutôt….

Poids du regard sur sa nuque, tourne la tête, sourit, les pierres sont là…..

Se lève, attends que Myrti ait fait de même pour lui tendre son bras, selon la bienséance du code d’honneur de l’officier de sortie….lui murmure à l’oreille, prétexte à lui déposer un baiser délicat dans le cou….

Viens je vais te présenter Kabote….

Gardant toujours un œil sur sa fille, il s’assure que celle-ci suit bien le mouvement.

par Childebert de Béarn Mar 18 Nov 2008 - 21:39

L'archevêque de Bordeaux avait suivit la cérémonie dans une partie haute de la cathédrale. Il avait trouvé la cérémonie fort belle. Il descendit pour bénir l'union des jeunes mariés.

Sehanne, Jake. Soyez heureux l'un l'autre, l'un avec l'autre.

Hier, deux coeurs... aujourd'hui, un couple uni par l'amour pour toujours.
Que la magie de l'amour resplendisse dans vos coeurs chaque jour de votre vie et fasse des années à venir un éternel enchantement.

Soyez Bénis

par Invité Jeu 20 Nov 2008 - 23:38

Alors que le couple de jeunes mariés était congratulé par leurs amis, un homme d’église s’approcha deux. Ils les reconnu de suite. C’était Monseigneur Childebert. Qui venait les féliciter à son tour.

« Merci Monseigneur … » dit-il ému inclinant légèrement la tête en guise de respect, tournant ensuite la tête vers son épouse, serre un peu plus sa main. Ils rayonnaient de bonheur.

par Sehanne Dim 23 Nov 2008 - 20:37

Alors qu'ils recevaient les félicitations de leurs amis, quelqu'un s'approcha d'eux, une personne qui comptait beaucoup pour elle.

Monseigneur .... je vous remercie d'être venu

En oubliant le protocole, elle ne put s'empêcher de lui faire une bise sur la joue. Elle lui était tellement reconnaissante de l'avoir baptisée et maintenant grâce à lui, ils avaient pu se marier dans cette si belle cathédrale.

Merci pour tout Monseigneur

Cette journée était vraiment pleine d'émotion et ça n'allait pas finir de sitôt.

par Gregory de festigny Lun 8 Déc 2008 - 4:10

Fort belle cérémonie en effet... L'Assistant de l'Archevêque vint à son tour féliciter les mariés. Puis s'adressa à leur fille...

Damoiselle, félicitations à votre parents pour cette union.
Par contre vos fiancialles ne peuvent être valides... En effet, Messire Flex a été uni par deux fois aux voeux de mariage, j'en suis désolé.
Il doit en premier lieu présenter requête à son Evêque référent pour demander l'annulation motivée de celui-ci qui formulera un dossier à l'Officialité Episcopale pour truchement final.
Que cela ne gache pas les festivités, au contraire, que celles-ci soient dignes et grandes.

par flex Lun 8 Déc 2008 - 18:49

Apparition magique d'où l'on ne sait - d'un défroqué. Comte démissionnaire aux allures incapables, l'habit ne fait pas le moine ; dit-on.
Ho, Griffes. Vous comprendriez que ce n'est pas un réel plaisir d'être à vos côtés, mais soit ; puisque vous êtes apparu. Nous sommes en cathédrale, et tout peux arriver, dirions-nous..
Un sourire. Un sourire d'enflure, taquin, celui qu'il adorait. Les mains dans le dos, le jeune Auxonne déambulait de cents pas, comme en état-major Périgordin.
En tout premier temps, je ne vois pas pourquoi vous vous permettez d'intervenir icelieu. Avez-vous quelconque responsabilité en cette église ? Je le crains, vous avancez votre nomination.
Soit, puisqu'il faut user d'anachronisme, alors usons-en. Je suis encore Archidiacre Diocésain à cette heure-ci, ma lettre de démission est prête à être publiée ; ce sera donc Père Flex, ou Frère. Non pas Frère..
Il se stoppa net, en fin. Le jeune Auxonne ajouta,
Mais puisque vous êtes aussi bien renseigné sur Monseigneur Kendok, pourriez-vous me dire au moins où il est ? Malheureusement introuvable ces temps-ci.. Soupire, un évêque comme lui manquant à l'appel. Les meilleurs partaient toujours en premier... Et comme vous l'avez précisé, j'ai besoin de son avis. Je puis me tourner vers Monseigneur Childebert, en dernier recours. S'il le faut il en sera ainsi. Enguerrand pencha sa tête - pas trop près tout de même- en direction des oreilles de Griffes, et lui dit à voix basse : voilà façon lâche de régler votre petite mésentente avec ma personne.. Pouffement d'épaules, un rire cherchait à s'extirper, le soufflet ne vous a t-il pas suffit ?
Large sourire -d'enflure idem. La tête droite sur ses épaules, d'un geste humble il salua le défroqué récidiviste. Grâce et élégance dans ses mouvements, il adorait plus que tout au monde ce genre de palabres.

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